JUAN MANUEL CASTRO PRIETO – El álbum perdido
22 JUIN – 3 SEPTEMBRE 2011
JUAN MANUEL CASTRO PRIETO – El álbum perdido
22 JUIN – 3 SEPTEMBRE 2011
ARTISTE
INFORMATIONS PRATIQUES
GALERIE VU’
Hôtel Paul Delaroche,
58 rue Saint-Lazare
75009 Paris
Tel : +33 1 53 01 85 85
Métro : Ligne 12, Trinité – d’Estienne d’Orves
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JUAN MANUEL CASTRO PRIETO – El álbum perdido
Les Impromptus #2 présentent un ensemble exceptionnel de tirages virés à l’or de Juan Manuel Castro Prieto. Le photographe espagnol réinvente la mémoire et les souvenirs des paysages qu’il a déjà photographiés (Machu-Picchu, ancienne cité Inca du 15e siècle au Pérou perchée sur un promontoire rocheux et Almeria en Andalousie). Ces paysages semblent appartenir à un album imaginaire, un album sauvé des morsures impitoyables du temps, qu’habiteraient des photographies entraînées dans un processus irréversible de destruction. Le photographe transforme les paysages en sujets métaphoriques qui constituent l’axe central d’une narration aux échos oniriques ; un récit fait de fragments, où le passé entre en permanence en collision avec le présent.
22 JUIN – 3 SEPTEMBRE 2011
Les traces, la teinte ou les coulures obtenues par le virage à l’or peuvent ainsi être interprétées comme des marqueurs du temps. Quant aux imperfections aléatoires produites par ce traitement chimique, elles plongent le spectateur dans un univers étrange, entre rêve et réalité.
« Ce sont les traces d’une topographie symbolique qui évoquent la construction de notre propre expérience ; des ruines qui parlent de la coexistence de la mémoire avec la vie en devenir… » souligne Juan Manuel Castro Prieto.
Les Impromptus #2 présentent un ensemble exceptionnel de tirages virés à l’or de Juan Manuel Castro Prieto. Le photographe espagnol réinvente la mémoire et les souvenirs des paysages qu’il a déjà photographiés (Machu-Picchu, ancienne cité Inca du 15e siècle au Pérou perchée sur un promontoire rocheux et Almeria en Andalousie). Ces paysages semblent appartenir à un album imaginaire, un album sauvé des morsures impitoyables du temps, qu’habiteraient des photographies entraînées dans un processus irréversible de destruction. Le photographe transforme les paysages en sujets métaphoriques qui constituent l’axe central d’une narration aux échos oniriques ; un récit fait de fragments, où le passé entre en permanence en collision avec le présent.
Les traces, la teinte ou les coulures obtenues par le virage à l’or peuvent ainsi être interprétées comme des marqueurs du temps. Quant aux imperfections aléatoires produites par ce traitement chimique, elles plongent le spectateur dans un univers étrange, entre rêve et réalité.
« Ce sont les traces d’une topographie symbolique qui évoquent la construction de notre propre expérience ; des ruines qui parlent de la coexistence de la mémoire avec la vie en devenir… » souligne Juan Manuel Castro Prieto.
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