EXPOSITION COLLECTIVE
9 − 23 septembre 2022
EXPOSITION COLLECTIVE
9 − 23 septembre 2022
ARTISTES
Lys Arango
—
Charlotte Audoynaud
—
Louisa Ben
—
Souleymane Bachir Diaw
—
Maxime Michelet
INFORMATIONS PRATIQUES
GALERIE VU’
Hôtel Paul Delaroche,
58 rue Saint-Lazare
75009 Paris
Tel : +33 1 53 01 85 85
Métro : Ligne 12, Trinité – d’Estienne d’Orves
Galerie ouverte le jeudi et vendredi de 12h30 à 18h30
Le samedi de 14h à 18h30
Et sur rendez-vous
CONTACTS
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LE MENTORAT PHOTOGRAPHIQUE DU FONDS RÉGNIER POUR LA CRÉATION AVEC L’AGENCE VU’
La Galerie VU’ et Le Fonds Régnier pour la Création sont heureux de présenter l’exposition MP#02 venant clôturer la deuxième édition de leur Mentorat Photographique qui s’est déroulé d’octobre 2021 à juin 2022.
Cette année, cinq nouveaux photographes émergents ont été sélectionnés pour leur énergie, leur talent et la diversité de leurs approches dans les différents champs de la photographie. Ils ont pu bénéficier d’un accompagnement personnalisé et transdisciplinaire leur permettant d’acquérir, à travers des ateliers et des interventions d’experts, les compétences inhérentes à la profession de photographe. Parallèlement, ils ont pris le temps de développer un projet personnel au long cours, soutenus, questionnés et conseillés par des photographes et des mentors au sein de l’équipe de VU’. L’exposition MP#02 permet au public, amateur et professionnel, de découvrir le résultat de ces recherches.
Sous des formes et des sujets variés, on remarquera dans cette édition un même questionnement sur la transmission et une volonté de retisser des liens entre passé, présent et futur. Ni tabula rasa ni disruption donc. Ce sont les origines, l’histoire familiale, l’enfance, le genre et les valeurs transmises qui sont revisités. Sans repli sur soi ni nostalgie pourtant.
9 − 23 septembre 2022
Ainsi, Lys Arango opère un retour sur le territoire où ses grands-parents se sont installés dans les années 1950 : le bassin minier des Asturies, en Espagne. Elle témoigne du déclin industriel récent dans la région, où l’exploitation de la mine connaît ses dernières heures et, surtout, de la rémanence d’une mémoire ouvrière.
Charlotte Audoynaud trace les contours d’un territoire plus évanescent, celui de l’enfance, dont elle cherche le souvenir à travers le quotidien d’enfants qui ne sont plus vraiment les siens, rendus par la photographie et dans un vertige, à la lumière et la nature.
Louisa Ben interroge ses origines marocaines et jette un trouble dans l’assignation territoriale et identitaire en présentant des portraits de jeunes femmes dont elle ne précise ni la nationalité ni le lieu de résidence. Avec cette série, elle tisse un récit autobiographique où s’exprime une situation vécue par toute une jeunesse tendue entre l’Ici et l’Ailleurs.
Souleymane Bachir Diaw questionne les injonctions véhiculées par sa langue natale et son éducation au Sénégal. Il tente à la fois de les dire, de les déconstruire et de les subvertir, par le corps et le vêtement. Le studio photographique devient un laboratoire d’expériences d’hybridation entre tradition et modernité, vers des masculinités et spiritualités nouvelles.
Enfin, Maxime Michelet revisite la photographie de famille dans un style qui convoque à la fois la pratique professionnelle du portrait posé et le rituel amateur, pop et intrafamilial. En portant son attention plus spécifiquement sur les relations entre frères et sœurs, il révèle la puissance de ce premier groupe social où se jouent – et se rejouent tout au long de notre existence – nos sentiments d’appartenance et nos besoins d’individuation..
ARTISTES
Lys Arango
—
Charlotte Audoynaud
—
Louisa Ben
—
Souleymane Bachir Diaw
—
Maxime Michelet
LE MENTORAT PHOTOGRAPHIQUE DU FONDS RÉGNIERS POUR LA CRÉATION AVEC L’AGENCE VU’
10 − 18 SEPTEMBRE 2021
La Galerie VU’ et Le Fonds Régnier pour la Création sont heureux de présenter l’exposition MP#02 venant clôturer la deuxième édition de leur Mentorat Photographique qui s’est déroulé d’octobre 2021 à juin 2022.
Cette année, cinq nouveaux photographes émergents ont été sélectionnés pour leur énergie, leur talent et la diversité de leurs approches dans les différents champs de la photographie. Ils ont pu bénéficier d’un accompagnement personnalisé et transdisciplinaire leur permettant d’acquérir, à travers des ateliers et des interventions d’experts, les compétences inhérentes à la profession de photographe. Parallèlement, ils ont pris le temps de développer un projet personnel au long cours, soutenus, questionnés et conseillés par des photographes et des mentors au sein de l’équipe de VU’. L’exposition MP#02 permet au public, amateur et professionnel, de découvrir le résultat de ces recherches.
Sous des formes et des sujets variés, on remarquera dans cette édition un même questionnement sur la transmission et une volonté de retisser des liens entre passé, présent et futur. Ni tabula rasa ni disruption donc. Ce sont les origines, l’histoire familiale, l’enfance, le genre et les valeurs transmises qui sont revisités.
Sans repli sur soi ni nostalgie pourtant.
Ainsi, Lys Arango opère un retour sur le territoire où ses grands-parents se sont installés dans les années 1950 : le bassin minier des Asturies, en Espagne. Elle témoigne du déclin industriel récent dans la région, où l’exploitation de la mine connaît ses dernières heures et, surtout, de la rémanence d’une mémoire ouvrière.
Charlotte Audoynaud trace les contours d’un territoire plus évanescent, celui de l’enfance, dont elle cherche le souvenir à travers le quotidien d’enfants qui ne sont plus vraiment les siens, rendus par la photographie et dans un vertige, à la lumière et la nature.
Louisa Ben interroge ses origines marocaines et jette un trouble dans l’assignation territoriale et identitaire en présentant des portraits de jeunes femmes dont elle ne précise ni la nationalité ni le lieu de résidence. Avec cette série, elle tisse un récit autobiographique où s’exprime une situation vécue par toute une jeunesse tendue entre l’Ici et l’Ailleurs.
Souleymane Bachir Diaw questionne les injonctions véhiculées par sa langue natale et son éducation au Sénégal. Il tente à la fois de les dire, de les déconstruire et de les subvertir, par le corps et le vêtement. Le studio photographique devient un laboratoire d’expériences d’hybridation entre tradition et modernité, vers des masculinités et spiritualités nouvelles.
Enfin, Maxime Michelet revisite la photographie de famille dans un style qui convoque à la fois la pratique professionnelle du portrait posé et le rituel amateur, pop et intrafamilial. En portant son attention plus spécifiquement sur les relations entre frères et sœurs, il révèle la puissance de ce premier groupe social où se jouent – et se rejouent tout au long de notre existence – nos sentiments d’appartenance et nos besoins d’individuation..
INFORMATIONS PRATIQUES
GALERIE VU’
Hôtel Paul Delaroche,
58 rue Saint-Lazare
75009 Paris
Tel : +33 1 53 01 85 85
Métro : Ligne 12, Trinité – d’Estienne d’Orves
Galerie ouverte le jeudi et vendredi de 12h30 à 18h30
Le samedi de 14h à 18h30
Et sur rendez-vous
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