À l’occasion de la parution du livre éponyme aux Editons Le bec en l’air, la Galerie VU’ présente pour le première fois une exposition de Raphaël Neal.
Alors que Juan Manuel Castro Prieto a récemment publié l'ouvrage « Sucedió entre dos párpados » aux éditions Anómalas, nous présentons une sélection de tirages, réalisés par l’artiste, dont certains sont doublés à la feuille d’or, issus des séries rassemblées dans l'ouvrage.
Le Fonds Régnier pour la Création et VU’ sont heureux de vous convier au vernissage de l’exposition MP#04 clôturant la première édition de leur Mentorat Photographique qui s’est déroulée de septembre 2023 à juin 2024.
Pour la deuxième exposition du jeune photographe espagnol à la Galerie VU', nous montrons un nouvel ensemble de petits tirages uniques. Ses images délicates, épurées et contemplatives s'inscrivent dans la continuité de la démarche poétique de l'auteur.
Nous montrons pour la première fois le travail de la photographe mexicaine Pia Elizondo, avec deux de ses séries les plus récentes Death is a Bride et Zoo.
Pour cette exposition, la Galerie VU' rassemble des photographies issues de trois ensembles réalisés par Yves Trémorin : Les paysages celtiques (1990), La dérivée mexicaine (2009), et Viking (2013).
A l’occasion de la parution aux Editions Actes Sud du Photo Poche qui lui est consacré, nous présentons à la Galerie VU' une exposition rétrospective de Stéphane Duroy.
La Galerie VU’ consacre une grande exposition à l’œuvre récente de Nolwenn Brod en rassemblant trois de ses séries, Le Temps de l’Immaturité, Les Dahlias et Les Hautes Solitudes.
Alors que Libération fête ses 50 ans au travers d’une série d’expositions et la parution d’un ouvrage éponyme, l’Agence VU’, complice de longue date du quotidien, célèbre à son tour cet anniversaire avec une exposition singulière à la Galerie VU’.
Le Fonds Régnier pour la Création et VU’ sont heureux de vous convier au vernissage de l’exposition MP#03 clôturant la première édition de leur Mentorat Photographique qui s’est déroulée de septembre 2022 à juin 2023.
Les Imazighen, les hommes libres, est le nom originel du terme occidental berbère. Les Imazighen, les hommes libres, est le nom originel du terme occidental berbère.
« En rééditant toutes mes photos, un autre voyage a émergé, davantage un état des lieux : l’urgence, aujourd’hui, surtout dans le Grand Nord, porte sur la fonte des glaces et le réchauffement climatique, dont on parlait peu en 1992. On voit pourtant clairement sur les images que le processus avait déjà commencé. Il me semble important de le montrer. »
Dans cette exposition, il est question de lumière. Elle est bien-sûr la matière même de la photographie, mais elle est aussi ce qui la compose ou la dévore, qui modèle le sujet ou l’efface.
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Pour la troisième édition du Prix Caritas Photo Sociale, la Galerie VU’ est heureuse d’accueillir le lauréat 2022 Cyril Zannettacci (photographe membre de l’Agence VU’) avec sa série « Parler à ceux que l’on n’écoute jamais ! » ainsi que les expositions des deux finalistes : Karen Assayag « Ce qu’il reste au fond de moi » et Pierre Jarlan pour sa série « Ici et demain ».
L’un comme l’autre ne sont pas des photographes de guerre, et tous deux s’affranchissent du spectaculaire. Ici, photographie et peinture se rencontrent, se confrontent et se répondent, dans leur capacité ou leur impuissance à déclarer ceci est la guerre.
La Galerie VU’ présente une exposition collective rassemblant des œuvres en écho aux actualités de ses auteurs. C’est pour nous l’occasion de montrer la vitalité comme la qualité de force de création de nos auteurs
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Le Fonds Régnier pour la Création et VU’ sont heureux de vous convier au vernissage de l’exposition MP#02 clôturant la première édition de leur Mentorat Photographique qui s’est déroulée de septembre 2021 à juin 2022.
Au cœur des Vosges, alors qu’ils accompagnent une amie aux obsèques de son père, Aline Diépois et Thomas Gizolme vont investir la maison de celui-ci. Ils ne l’ont jamais rencontré et connaissent très peu de choses de lui et vont photographier ce lieu de vie désert mais encore tout imprégné de sa présence, laissé en état par le défunt.
Daniela Roman est architecte dplg depuis 34 ans et photographe depuis 15.
Pour ses deux métiers, le ciment, le bois et l’acier sont les lieux de son quotidien.
La lumière, la géométrie et la texture sont la grammaire de ses récits.
Dans cette nouvelle édition de l’exposition Première VU’, VU’ Éducation présente une sélection de travaux photographiques réalisés dans le cadre de ses formations de développement de projets.
Juan Manuel Castro Prieto a mis au point plusieurs techniques de tirages sur lesquels il appose d’infimes couches de feuille d’or. C’est autour de la dimension symbolique de l’or comme allégorie de la futilité des hommes et de leurs rêves que se rassemblent, à l'occasion de cette exposition, les réinterprétations des grandes œuvres de l'artiste.
Pour cette première collaboration avec Yves Trémorin, artiste majeur de la scène photographique française, nous avons fait le choix de construire une exposition transversale dans son œuvre (de 1983 à 2017).
Loin du tumulte des révolutions technologiques permanentes, Øyvind Hjelmen pratique la photographie argentique avec la même lenteur que ses ombres apparement immobiles, et ses tirages ont cette même subtile fragilité des instants précieux de nos souvenirs.
Pour cette nouvelle exposition d’Israel Ariño, nous montrons deux séries de l’artiste espagnol, incluant de nombreux tirages inédits, qui déclinent sur deux territoires sa poétisation du paysage.
Action contre la Faim a fait appel à quatre photographes de l’Agence VU’ pour témoigner des conséquences du dérèglement climatique sur la faim dans quatre régions du monde. Que ce soit au Tchad, au Panama, en Afghanistan ou au Kenya, les photographes portent leur regard d’auteur sur le lien profond entre les hommes et leur environnement.
Le Fonds Régnier pour la Création et VU’ sont heureux de vous convier au vernissage de l’exposition MP#01 clôturant la première édition de leur Mentorat Photographique qui s’est déroulée de septembre 2020 à juin 2021.
Un écho aux vers de Pedro Calderon de la Barca : Qu'est-ce que la vie? Un délire. / Qu'est-ce donc la vie? Une illusion, / une ombre, une fiction. / le plus grand bien est peu de chose, / car toute la vie n'est qu'un songe, / et les songes rien que des songes.
En écho à l’exposition consacrée par la Ville de Lorient de juillet à décembre 2021 aux liens d’Anita Conti avec la Bretagne, la Galerie VU’ présente une sélection de vintages réalisés par la photographe.
En complète cohérence avec son précédent projet, In Absence, elle poursuit son processus d’expérimentation de l’acte photographique en œuvrant, comme une entomologiste.
Figure emblématique de la Movida, cette vague d’émancipation de la révolution démocratique espagnole, Ouka Leele n’a de cesse de réinventer, de réenchanter et n’a pas d’équivalent par l’originalité de son œuvre foisonnante et poétique où se rencontrent, dans une étrange mixité, peinture et photographie.
A l’occasion de Paris Photo et de la parution de son nouvel ouvrage par la Zen Photo Gallery, La Galerie VU’ est heureuse d’accueillir dans son espace découverte une exposition inédite de Chris Shaw.
Comme une allégorie bouleversante de l’urgence à vivre avant que tout ne se consume et à s’abandonner à l’amour, à se perdre dans les bras de l’autre, cette série de Martin Bogren dit la manière d’être intense d’un photographe qui s’en remet au monde.
H est un travail introspectif, un travail de mémoire au Sahara, entre Reggane et Tamanrasset, là où il y a près de soixante ans, l’armée française a procédé à des essais nucléaires.
Alors qu’une importante exposition rétrospective vient de lui être consacrée par PhotoEspaña, David Jiménez, l’un des plus importants photographes espagnols de sa génération, rejoint la Galerie VU’.
Des subtiles natures mortes de Juan Manuel Castro Prieto aux belles îles amères Kiribati d’Aline Diépois & Thomas Gizolme, des images sombres et étranges de Ricard Terré aux petites fictions poétiques de Juanan Requena, des assemblages hybrides de Magali Lambert aux corps évanescents de Pieter Ten Hoopen, la Galerie VU’ propose une sélection des œuvres les plus remarquables de ses photographes.
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A l’occasion de la parution de l’ouvrage Rencontres avec Stéphane Duroy par Sophie Bernard, dans la collection Paroles de photographe chez Filigranes Éditions, la Galerie VU’ invite Stéphane Duroy à présenter une sélection de ses œuvres.
Portraitiste de renom, Fred Stucin a également le goût des métropoles et des projets au long cours. Alors qu’il s’apprête à publier une première monographie éponyme aux Editions le Bec en l’air, la Galerie VU’ lui consacre une exposition avec Only Bleeding, série réalisée entre 2011 et 2017 à Las Vegas.
Avec ses images fragiles, éphémères et contemplatives, petits moments d’éternité prélevés sur le fil des choses hors du temps, Juanan Requena nous emmène à la dérive, sur son chemin pavé d’incertitudes.
Natten est à la fois une histoire d’amour, de deuil et de renaissance. Comment peut-on tolérer une perte qui nous dépouille d’une partie de nous-mêmes ?
La photographie est une pratique de couple pour Aline Diépois et Thomas Gizolme. Ce que montre leur travail, le sujet premier, c’est la fabrication d’un couple dans cette errance particulière de la quête des images et la volonté de faire le monde ensemble.
Pour la deuxième fois, la Galerie VU’ consacre une exposition à Manset. Compositeur et écrivain, la photographie est pour lui un prolongement de son univers, dont il vient de publier aux éditions Favre Mansetlandia, un livre qui rassemble un choix important de ses images.
Pour la première fois, la Galerie VU’ présente cet artiste majeur de la scène artistique argentine, un des premiers grands photographes documentaires de ce pays et la figure centrale de l’expérimentation inventive de la photographie.
Le point de départ de La ritournelle, c’est un homme, une femme et leur territoire amoureux, social et professionnel, bouleversés par un changement de lieu (le couple a quitté une grande ville pour s’installer à la campagne) et la naissance d’un enfant.
Tous deux épris de liberté, de voyages, d’histoires du monde et de la mer, de rencontres et de narrations, c’est avec évidence que les images d’Anita Conti étaient de formidables scénarios pour Loustal, l’illustrateur auteur de bandes dessinées aux ambiances voyageuses.
Un carré, des lignes, des ronds et des aplats en noir et blanc. Des images sans autre drame que la rencontre d’une oblique avec une courbe, ou le dialogue d’un grain avec des ombres
Laure Samama pense que nous sommes fait de toutes les histoires qui nous précédent, nous entourent, nous traversent. Et elle fait appel à la photographie, la vidéo et l’écriture pour les raconter. Elle réalise aussi des livres d’artistes et des objets, afin qu’il ne soit plus seulement question de voir, mais aussi de toucher, ouvrir, emporter avec soi les choses qui nous sont précieuses.
Reflet triste et désabusé de l’économie américaine, ignorante des pauvretés extrêmes, la petite ville est enfouie au fond d’un canyon où l’hiver ne laisse entrer qu’une courte lumière blanche.
En prolongement de son imposant reportage de douze années à travers le monde sur les lieux des conflits historiques (Austerlitz, Gettysburg, Dien Bien Phu, Sarajevo, Beyrouth…)*, Yann Morvan présente aujourd’hui son nouveau travail Les nouveaux champs de bataille. De Toulouse à Paris, de Saint-Étienne-du-Rouvray à Bruxelles, le photographe questionne la couverture et la construction médiatiques des attentats qui ont frappé la France et la Belgique en 2015 et en 2016.
Dans ses photographies épaisses, lourdes d’âmes et de chairs, habitées de force et de vulnérabilité, Monika Macdonald insuffle un érotisme inusité en photographie qui provoque une vision de l’intériorité plus qu’il ne suscite le fantasme. Elles invitent à observer des instants d’abandon comme d’introspection où les femmes, lointaines et pourtant concrètes, sont saisies dans leur quotidien comme sujets désirants plutôt qu’objets de désir.
Miho Kajioka, photographe japonaise qui expose pour la première fois à Paris, à la Galerie VU‘, pose un regard personnel et intimiste sur la catastrophe vécue par son pays il y a 5 ans déjà.
Cette exposition présente les écritures protéiformes et puissantes des photographes de VU’ pour venir interroger la question du regard du photographe, du photographié comme du regardeur.
La Galerie VU’ présente, pour la première fois, le travail du photographe espagnol Israel Ariño à travers une exposition qui parcourt vingt ans de photographies en dix séries.
Michel Houellebecq développe ici une œuvre singulière pour laquelle il associe ses images à des fragments de textes, fictions ou poésie. Les paysages ruraux, les aménagements urbains et les hubs de transport, thèmes récurrents de ces séquences, font écho aux visions prospectives de la France développées dans La carte et le territoire, son roman prix Goncourt 2010. Ils dévoilent aussi le point du vue singulier de l’écrivain sur le monde.
Cette exposition rassemble les images réalisées par Jean-Christian Bourcart depuis les années 1990 au cœur des lieux cachés du sexe. Tel un passager clandestin, photographiant sous le manteau, l’auteur s’est immergé dans les arcanes des bordels ou des club échangistes.
"Ces photographies sont mon éducation sentimentale, un champ de bataille, des sources de chaleur, la définition d’un territoire – pas seulement géographique."
Les photos des gens qui participent à la conception de leur image sont au cœur de mon travail. Un portrait implique une présentation et le choix du lieu et du moment. J’ignore quelle part du modèle est visible.
J'ai commencé à faire des photographies un jour ou ma sœur m'a donné un grand drap noir. J'ai utilisé cette obscurité pour fixer les émotions qui traversaient mon visage.
Nolwenn Brod
Ar Gouren et autres visions
12/09/14 au 25/10/14
Chez Nolwenn Brod, les jeunes lutteurs se mettent à l’épreuve par la confrontation physique en une lente chorégraphie, corps lourds de chair, de puissance, puis de fatigue, dans un rituel immémorial d’embrassement/embrasement de soi, de l’autre et du monde.
Chez Martin Bogren, la candeur et l’insoumission des adolescents, qui jouent à ce qu’ils croient être des activités d’adultes, qu’ils ne sont pas encore, s’enivrent de vitesse au volant de voitures bricolées sur des parkings au milieu de la campagne suédoise.
Inhospitalière mais d’une beauté austère, la Namibie surprend. L’attrait particulier se retrouve dans l’immensité et la splendeur de ses paysages sans fin, très peu peuplés.
La Galerie VU’ présente la troisième exposition individuelle de Jose Ramón Bas à Paris, rassemblant ses deux séries les plus récentes, Singer Dreams, variation ludique, réminiscence mémorielle et sensible déclinée sur les archives d’un concours de chant lyrique et Jaffna, où l’auteur allie à nouveau sa complicité avec les enfants et son goût de l’ailleurs.
Ni quotidien, ni érotisé, ni étude formelle, ici le corps photographié est pris dans un jeu de contextualisation / décontextualisation. On voit les accessoires, radiateurs, estrades, chevalets environnants, chaussures du modèle… Soudain le nu prend une dimension d’incongruité : le moment de la pose ainsi retranscrit dans son artificialité par l’inscription des éléments de son environnement immédiat révèle toute son absurdité.
Juan Manuel Castro Prieto a parcouru les musées, le Louvre et le Musée d’Orsay à Paris, le Prado et le Musée Thyssen à Madrid pour un projet au long cours.
"Je ne suis jamais venu ici. Je n’ai jamais rencontré ces gens. Je n’ai jamais conduit dans un tel brouillard, comme si nous traversions une bouteille de lait."
Anders Petersen
Les photographies de van der Elsken palpitent de la force de l'intime, et l'intensité de la présence au monde du photographe comme de ses sujets déborde et vient submerger celui qui les regarde. Par les cadrages très serrés des portraits, les jeux de miroirs et de doubles, l'éclairage artificiel et l'atmosphère enfumée, la densité du noir et la nervosité des instantanés, la plasticité des images entre en parfaite cohérence avec la captation d'un climat fébrile et languide et l'esprit d'avant-garde de cette jeunesse du Paris d'après-guerre.
L’exposition Frames of Change que propose la Galerie VU’ qui accueille l’artiste pour la première fois, dans le cadre de sa programmation spéciale Afrique du Sud.
L’œuvre de l’Américain Roger Ballen (New York, 1950) ne s’appréhende pas avec aisance, tant elle n’a jamais donné prise aux moindres effets de séduction. N’appartenant à aucun genre photographique précis, bien qu’habitée d’une indiscutable force documentaire et sociale, elle est devenue, au fil du temps, incontestable tout en ne cessant de gagner en complexité.
Dix ans après la dernière exposition à la Galerie VU’, Richard Dumas, considéré comme l’un des artistes essentiels de l’histoire de la photographie, revient, dans cadre du Mois de la Photo 2012, avec une exposition intitulée Suite qui poursuit son travail et sa réflexion autour du portrait photographique.
De Budapest à Buenos Aires, de Zagreb à Trieste, Graz ou Salzbourg, Boris Gaberscik, photographe slovène, est aujourd’hui exemplaire et emblématique de cette exploration méticuleuse du réel, abusivement traduite en français comme nature mort.
Juan Manuel Castro Prieto a parcouru les musées, le Louvre et le Musée d’Orsay à Paris, le Prado et le Musée Thyssen à Madrid pour un projet au long cours.
Fidèle à sa démarche totalement libre de poète et de bricoleur l’artiste voyageur José Ramon Bas présente, pour sa deuxième exposition à la Galerie VU’, des carnets de voyages, des objets et des photographies issues de deux séries récentes aux ambiances et aux tonalités bien différentes.
Avec Vinter, Lars Tunbjörk nous embarque dans une frénésie d’images qui rompent radicalement avec un imaginaire nourri de clichés de paysages de neige immaculée, d’intérieurs « cosy » et propres, de gens qu’on imaginait rompus à cet exercice annuel de saison noire et longue, enferrés dans une attente passive et tranquille. Or, le périple est chaotique...
Lorsqu’en 2001 Juan Manuel Castro Prieto présenta, sous le titre « Viaje al Sol », le résultat de dix ans de photographie au Pérou dans une énorme exposition accompagnée d’un livre remarquable, ce fut un choc.
Mister Pink est un acteur Thaïlandais. Il est en fait une créature inventée et dirigée par Manit Sriwanichpoom, artiste activiste qui utilise la photographie et le transforme en élément révélateur.
Le parcours photographique de Ricard Terré est atypique. Ce catalan qui réalise ses premières images en 1955 se rapproche des Sociétés Photographiques de l’époque, avant de rejoindre le groupe AFAL qui, en cette période franquiste, milite pour une modernité de la photographie documentaire.
Ces images sont les dix doigts de mes deux mains, de la fille, du garçon, de Pauline et de Juju, frère et soeur, de la mère et du passeur. Elles sont fragiles et têtues, en vitrail, entrailles. Je les connais depuis si longtemps, patine intime, qu'elles me sont devenues légendaires, des bottes de sept lieues, le conte que je raconte.
José Ramon Bas est un voyageur. Et il se trouve qu’il photographie. Qu’il prend des notes, impressionnistes, de ses déplacements qui mènent un jeune catalan toujours plus au Sud, à Cuba ou en Afrique, ou au Brésil.
Révélée par le remarquable ouvrage publié par les Editions Revue Noire et les expositions qui l’ont accompagnées, l’œuvre photographique d’Anita Conti est venue confirmer l’importance de l’un des plus extraordinaires destins du XXème siècle, celui de «La Dame de la Mer», inoubliable auteur des «Racleurs d’Océans» et de «Géants des Mers Chaudes».
Difficile, tant le travail s’est épuré et radicalisé, d’imaginer que Lars Tunbjörk a commencé sa pratique professionnelle de la photographie dans la presse suédoise. Son exploration des zones pavillonnaires habitées par la moyenne bourgeoisie de son pays – mais ce pourrait être la même chose chez nous, aux Etats-Unis ou ailleurs, à quelques détails près – nous propose un monde débarrassé en même temps des êtres humains qui ont façonné leurs terribles décors et des anecdotes qui ont été, avec l’humour ravageur que l’on sait, la marque de fabrique de l’auteur.
Le Pérou de Juan Manuel Castro Prieto est l’hymne d’un voyageur reconnaissant d’avoir trouvé sa terre et, en même temps, un hommage photographique à l’œuvre de Martin Chambi.
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C'est parce qu'un temps de nature purement photographique est à l'œuvre chez Serge Picard que ses images restent mystérieuses, énigmatiques, et qu'elles capturent le regard pour l'amener à se perdre dans des souvenirs d'enfance, entre bonheur absolu et cauchemar possible.
Le parcours de Ricard Terré est unique. En effet, on ne connaît pas d’autre cas d’un auteur qui, ayant abandonné la photographie durant un quart de siècle, reprend un jour ses appareils et, immédiatement, retrouve l’acuité de vision de ses jeunes années.
Au premier coup d’œil, et si on les regarde une à une, les photographies de Michel Van Eeckhoudt provoquent la surprise, voire l’incrédulité, et déclenche immanquablement un sourire, voire un éclat de rire.
De Mexique en Provence, de Méditerranée en dérives parisiennes et sans que jamais la localisation ait un sens, Antoine d’Agata nous convie à ses nuits de doute et de jouissance suspendues entre le bonheur du faire et le malheur d’être.
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Depuis des années, Isabel Munoz fait semblant, de par le monde, de photographier la danse. On a voulu lui coller une étiquette de « spécialiste » de la danse parce que, du ballet classique au flamenco, du tango au ballet khmer, de la danse du ventre égyptienne, à la lutte turque ou à la tauromachie, elle a su, mieux que tout autre, nous restituer l’âme de ces pratiques du rythme, de ces explorations de l’espace et de ces explications du désir qui puisent leurs sources dans de grandes traditions populaires.
Jean-Marc Tingaud nous a habitués à une lecture de murs qui, généralement, n'ont pas la parole. Ou qui semblent ne pas l'avoir. Visiteur respectueux et discret tout autant qu'implacable, d'espaces qu'il approche avec humilité, il nous a habitué à décrypter ce que des "intérieurs" peuvent révéler, autre manière de portrait, de ceux qui les habitent et les ont, souvent sans calcul, organisés ou décorés.
Sans jamais céder à la caricature, sans férocité aucune, mais avec jubilation, Lars Tunbjörk épingle les travers de ses contemporains avec une salutaire volonté de remettre le désordre à sa place.
Apparemment Chema Madoz photographie des objets. Mais il s’agit là d’une de ces tromperies dont la photographie est coutumière et dont ce madrilène qui manie l’humour avec une sérénité teintée de surréalisme n’hésite pas à mettre en abîme les capacités à nous illusionner.
Autoportraits, portraits d ’amis, portraits de rencontre, portraits d’acteurs du porno, portraits de lieux qui sont les portraits de ceux qui les pratiquent, les carrés de Garcia Alix sont une belle et longue prise de risque, autour d’une idée du portrait dont il a écrit qu’il était un crime. Et que le photographe qui s’y adonne, lui en l’occurrence, était un criminel.
Il appartient à cette génération (quatre ou cinq auteurs qui ne se connaissent pas), qui sait ce que fut la photographie, qui ne la respecte pas, qui la fait éclater, jusqu’au grain, physiquement, et qui la plie à son envie de projeter sur le monde un point de vue, le sien, aussi radical qu’indéfendable, pour nous ouvrir les yeux.
À soixante-huit ans Virxilio Vieitez n’avait jamais exposé. C’est à la dernière Fotobienal de Vigo que ses photographies, tirées pour la première fois en grand format, ont été présentées au public.
Une galerie c’est d’abord un lieu, un espace à investir et à faire vivre. En l’occurrence un espace atypique, au sous-sol des locaux de l’agence Vu’, à deux pas de la Bastille et au cœur du Marais, un espace dont l’aspect industriel surprend dans ce quartier historique. C’est là que nous présenterons désormais six expositions par an. Des approches monographiques, des dialogues d’auteurs, des approches collectives ou thématiques.
21/11/1998 - 16/01/1999
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